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M/M (Paris) - We do things

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M/M Paris
Masterclass

Penninghen continue de consacrer la création à travers ses plus grands ambassadeurs. Le 4 novembre dernier, Michael Amzalag et Mathias Augustyniak, M/M (Paris), ont donné une masterclass, en duplex depuis leur atelier devant plus de 270 étudiants et enseignants.

Le 4 novembre dernier, Michael Amzalag et Mathias Augustyniak, M/M (Paris), ont donné une masterclass, en duplex depuis leur atelier devant plus de 270 étudiants et enseignants. Différents, complémentaires, ils poursuivent une œuvre commune entamée il y a près de 30 ans. Pour les étudiants de Penninghen, ils ont entrouvert ce qu’ils appellent eux-mêmes leur « boîte à outils », sorte de jeu de clés de formes, de plans, d’échelles, de concepts qu’ils peaufinent, « usinent » dans leur atelier pour construire et bâtir l’univers de chaque projet, marque ou artiste qui leur confient leur image. Auteurs de campagnes publicitaires mondiales pour Balenciaga, Calvin Klein, Jil Sander, Yohji Yamamoto, Stella McCartney, Louis Vuitton, ou plus récemment Miu Miu et Loewe, les M/M incarnent la création dans son entier, la direction artistique dans toutes ses acceptions. 

 

Approche unique et magistrale, inspirante et visionnaire

A l’occasion de cette masterclass conçue pour le cours Brand Curation de Penninghen, en s’appuyant sur leur collaboration avec Jonathan Anderson pour la marque espagnole Loewe, les M/M ont fait la démonstration éloquente de leur approche unique et magistrale, inspirante et visionnaire. Dans une sorte de réflexion permanente, leur approche créative et conceptuelle est vertigineuse. Elle s’inscrit dans un rapport au temps et à l’espace dont l’échelle vient perturber les repères classiques de la direction artistique. Michael Amzalag et Mathias Augustyniak voient « derrière », cherchent « au-delà ». Ce sont des bâtisseurs d’univers.

Parallèlement à leurs travaux de commande Michael Amzalag et Mathias Augustyniak trouvent un prolongement à leur travail dans la pratique artistique qu’ils développent autour de leurs archives invités à intervenir dans les plus grandes institutions françaises et internationales. Parallèlement à la sortie du second tome de leur monographie éditée par Thames & Hudson, nourri notamment d’entretiens éclairants avec Peter Saville, Miuccia Prada, Jonathan Anderson et Hans Ulrich Obrist, M/M (Paris) investissent jusqu’en janvier 2021 les espaces du Musée d’Orsay et du Musée des Arts Décoratifs, en vis-à-vis rive gauche rive droite, dans une double-exposition « D’UN M/MUSÉE À L’AUTRE ». 

Cette conférence s'inscrit dans le cycle réservé à tous les étudiants de 5e année de formation architecture Intérieure, de formation communication et de formation direction Artistique dans le cadre du cours de Brand curation conçu et conduit par Gilles Poplin, directeur de Penninghen.

 

Crédits :

© Paolo Roversi (portrait Mathias Augustyniak et Michael Amzalag)

© M to M of M/M (Paris) Volume II, Thames & Hudson 2020 (visuels)

M/M (Paris)

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Romain Demongeot & Elvire Cheret

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Romain Demongeot et Elvire Cheret
ALUMNI

Romain et Elvire, #penninghen08 #penninghen11, ont travaillé dès l'obtention de leur diplôme pour des projets de grandes marques. Des tabourets de l’école jusqu’à la direction artistique dans les plus prestigieuses agences, lumière sur l’ascension commune de deux étoiles de la communication.

Diplômé de Penninghen en 2008, Romain Demongeot a débuté sa carrière professionnelle en France chez Duke puis DDB Paris avant de rejoindre Herezie, Publicis Luxe. Il est arrivé en 2016 comme experimental & virtual reality art director chez Unit9 à Londres, studio de production anglais, spécialisé dans la réalité virtuelle (VR), le digital, l’innovation technologique. Très vite, il a intégré l’équipe des creative directors de l’agence. Elvire Cheret, diplômée en 2011, y entre comme directrice artistique il y bientôt deux ans et y est aujourd’hui Creative Lead. 

Au cours de 2018-2019, Romain Demongeot a notamment travaillé pour Bentley, Visit Dubai, Mercedes, et Nike. Il a réalisé les films et campagnes Oneplus 6 et 6T ainsi que divers formats en Réalité Augmentée pour Adidas et Nike avec la complicité d’Elvire Cheret. Depuis janvier 2020, Romain Demongeot est passé Executive Creative Director et supervise désormais la quarantaine de créatifs de Unit9 Londres, tout en continuant de développer le business "Agence" et la stratégie de marque en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. 

En parallèle de sa carrière publicitaire, il développe une création cinématographique personnelle. “Love 2062”, film d’anticipation autour de la pollution ou le remarqué “Krokodil Requiem”, qui sensibilise à la drogue en attestent. Dans son récent court métrage co-écrit avec Sébastien Novac et Elvire Cheret, “La Dernière Prophétie”, qui peut rappeler parfois Mandalorian et Avatar, il anticipe et questionne le monde d’après, la place de la religion dans l’avenir de l’humanité,les conflits ethniques, l'intelligence artificielle comme solution. Il a confié à Elvire Cheret le stylisme et la photographie et s’est également entouré de nombreux techniciens et graphistes internationaux. Le trailer de trois minutes est une introduction à un futur long métrage. Expérience artistique complète, la production visuelle s’accompagne d’une bande son 3D, holophonique, adaptée à l’écoute au casque sur le web et les réseaux.  

Découvrir la formation en Direction Artistique

Romain Demongeot et Elvire Cheret

Romain Demongeot et Elvire Cheret

Romain Demongeot et Elvire Cheret
Romain Demongeot et Elvire Cheret
Romain Demongeot et Elvire Cheret
Romain Demongeot et Elvire Cheret

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183 personnages d'une splendide collection

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les plâtres de Penninghen
PÉDAGOGIE

183 ! C'est le nombre de plâtres d'étude qui, depuis 1890, année où Rodolphe Julian ouvre des ateliers de peinture et de sculpture au 31 rue du Dragon, inspirent et forment la main des étudiants qui se sont succédés devant eux. Cette splendide collection offre une véritable plongée dans l'histoire de l'art.

À leur contact régulier et assidu tout au long de leur enseignement, chacun se découvre des affinités insoupçonnées avec des sculpteurs d'autres époques. L’étude des plâtres s’inscrit dans l’enseignement basé sur la tradition académique qui suit des règles très strictes et permet à l’élève d’évaluer les aplombs, les proportions, découvrir la perspective, étudier le cadrage, la lumière, les contrastes, apprendre à choisir un point de vue, autant de qualités qui s'acquièrent par la pratique assidue et régulière de l'observation de ces plâtres et qui enrichissent et aiguisent l'œil et la main. 

 

Quand Brutus, Machiavel ou Zeus renaissent en école d’art et création

Du délicat tireur d’épine à l'impressionnant Zeus, du monumental Zacharie de Claus Sluter à la douce Eléonore d’Aragon de Francesco Laurana, de la cohorte des plâtres royaux médiévaux aux détails des bas-reliefs, de la dramatique captive de Carpeaux qui côtoie le viril gaulois de François Rude issu du haut-relief La marseillaise de l'arc de Triomphe, tous sont époussetés, parfois nettoyés et quand il le faut, blanchis. Les “ingrats”, comme le masque de nuit, ont également leur place, utiles car souvent difficiles à saisir. Et dans ce formidable vivier, deux épannelés, un Brutus et un Machiavel, réalisés il y a environ 50 ans par le sculpteur Roland Guillaumel, Prix de Rome, enseignant plus de quarante années à l’école, continuent d’aider les étudiants à comprendre comment aborder un dessin de plâtre, à construire des grandes surfaces avant de faire des détails. 

 

En attendant d’être les élus

Pieds, torse, mains, chapiteaux… de toutes tailles, de tous poids, certains aux lignes gracieuses, d’autres aux angles ingrats, les plâtres de Penninghen, à l’abris dans les placards des ateliers, ou suspendus protégés dans leur papier cristal, veillent en attendant d'être “élus” le temps de la séance qui leur sera consacrée, intemporels et majestueux sur leur sellette. 


En savoir plus
sur l’Histoire de Penninghen

Découvrir la première année d’enseignement à Penninghen et ses disciplines fondamentales

Merci aux enseignants Sabine Forget d'Alembert, Francis Buchet, Christine Duchier-Lapeyre, Armel Gaulme, Olivier de Lajarte et François Supiot, à Alain Roulot, ancien directeur, de 1988 à 2015, et à Fernando Martens Quental, en charge de la conservation des plâtres, pour leur précieuse contribution.

Les plâtres de Penninghen 

Les plâtres de Penninghen

 

Les plâtres de Penninghen
Les plâtres de Penninghen

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Le Grand secret par Fred Blanchard

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Fred Blanchard Jour J
PUBLICATION

Le grand secret, dernier opus de Fred Blanchard, Directeur de collection, scénariste et dessinateur qui a été major de promotion #penninghen88, vient de sortir aux éditions Delcourt.

Texte

  

Et si ? C’est sur cette question que naît chacun des albums de la série Jour J. À partir d’un événement historique réel, les scénaristes jouent à en changer le cours, imaginant différentes alternatives de l’Histoire. Le tome 42, intitulé Le grand secret, est le dernier-né de cette série prolifique.

 

Le grand secret 

Plus rien ne s'oppose à la mainmise des nazis en Europe. Plus rien sauf un grand secret que les SS semblent vouloir cacher à tout prix. Après sa défaite à la bataille d'Angleterre, Londres n'a pu faire autrement que de demander un armistice à Hitler. Indigné, le Premier ministre Churchill a donné sa démission, mais un gouvernement pro-allemand demande aussitôt à négocier un traité de paix lors d'une grande conférence à New York. De son côté, Roosevelt cherche à faire basculer l'opinion mondiale pour convaincre le Congrès d'entrer en guerre…

Consulter la liste de tous les diplômés de l’école

Illustrations

Jour J Fred Blanchard
Jour J Fred Blanchard
Jour J Fred Blanchard
Jour J Fred Blanchard
Jour J Fred Blanchard
Jour J Fred Blanchard

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Intégrer Penninghen en 10 questions-réponses

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Penninghen en 10 questions-réponses
INSCRIPTION

Candidater à l'école de son choix soulève de multiples interrogations. Penninghen répond à vos questions les plus fréquemment posées.

deux femmes dans un local d'art

 

découverte artistique

1. Je souhaite intégrer Penninghen, comment faire ?

Les inscriptions sont ouvertes chaque année courant octobre. Pour intégrer la première année préparatoire, il n’y a pas de niveau de dessin requis, ni de dossier de travail à présenter. Il n’y a ni concours d’entrée ni entretien. Il y a 300 places en 1re année. Il vous faut télécharger un dossier d’inscription administratif. 

 

2. Quels sont les pré-requis ?

L’âge requis est de 17 ans minimum et le niveau terminale a minima. L’obtention du baccalauréat est obligatoire. Retrouvez toutes les modalités d’inscription sur https://www.penninghen.fr/admission/premiere-annee

 

3. Penninghen est-il sur Parcoursup ?

Penninghen est hors Parcoursup et ne suit donc pas son calendrier. 

 

4. Ai-je bien le bon profil ?

Pour intégrer Penninghen, il faut de l’organisation, une grande ouverture d'esprit, de la rigueur, de l’assiduité et de la persévérance. Ce sont les conditions idéales pour réussir sa première année.

 

5. Quelles sont les modalités de règlement ?

Il est possible de régler les frais de scolarité annuels comptant ou en trois fois. Le règlement des frais de scolarité peut s'effectuer par chèques ou virement bancaire.

 

6. Je suis inscrit(e) mais j’ai changé d’avis, puis-je me rétracter ?

Pour tout désistement au delà du délai de rétractation de 8 jours, la scolarité reste due (sauf motif légitime et impérieux).

 

7. Pourrai-je prétendre à une bourse  ?

Des bourses peuvent être octroyées par Penninghen sous conditions à partir de la deuxième année. Les formations de l'école ne sont éligibles ni à la bourse du CROUS ni à Pôle Emploi. Penninghen a conclu un partenariat avec la BNP qui propose des crédits étudiants à des taux préférentiels. Plus d’infos sur https://www.penninghen.fr/infos-pratiques

 

8. Peut-on entrer directement en année supérieure ?

Les admissions parallèles sont possibles en quatrième pour toute personne possédant un BAC+3 minimum, qui soit cohérent avec le diplôme visé à Penninghen.

Ces admissions parallèles sont soumises à un dossier de candidature et un entretien de motivation.

 

9. Qu’apprend-on pendant la première année   ?

La première année est une année préparatoire générale de découverte qui enseigne les bases techniques du dessin et de la création, les fondamentaux du langage graphique et du volume. Elle aide à faire le choix vers l’un ou l’autre cursus proposé à partir de la 2e année.

 

10. Quel est le rythme de cette première année ?

Les étudiants passent 25 heures en cours et en moyenne 25 heures de travail personnel durant 30 semaines.

Il vous reste des questions ? Vous souhaitez rencontrer nos équipes ? Rendez-vous à une réunion d'information, à l'école ou en ligne 

Télécharger la brochure

Penninghen traite les données recueillies afin de gérer vos demandes d’information et vous accompagner dans votre orientation. Nous vous informons que Penninghen utilise vos données à des fins marketing pour personnaliser et adapter ses offres de services à vos besoins et établir des statistiques et des modèles de profils marketings. En communiquant vos coordonnées, vous consentez à être contacté par nos conseillers du lundi au vendredi de 9h30 à 19h00. Vos données seront conservées pour une durée de 3 ans; pour en savoir plus sur la gestion de vos données personnelles et pour exercer vos droits, veuillez consulter la politique de protection des données de l’école ou envoyer un mail à l’adresse dpo@penninghen.fr

Lancement de Penninghen TV

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Penninghen TV
PÉDAGOGIE

Dès le printemps dernier, afin d’assurer la continuité pédagogique, les équipes de Penninghen ont élaboré Penninghen TV, un système propriétaire de diffusion des cours en bi-modalité présentiel - distanciel. L’allumage des caméras permettant le suivi des cours s'est opéré mardi 5 octobre 2020.

PenninghenTV

 

PenninghenTV

Dès le début de la crise du Covid-19, maintenir le lien entre étudiants et enseignants a été une priorité, avec la décision de doter l’école d’un système de captation élaboré, flexible, modulable, évolutif et multi-plateforme. Grâce à cette plateforme, les étudiants de tout niveau en mastère Direction artistique, Architecture intérieure et Communication de marque suivront alternativement, une semaine sur deux, les cours à l’école ou depuis chez eux.

 

Sens de l’anticipation

“ Prendre en considération dès le début de la crise un nouveau scénario nous a permis de le concevoir, de planifier son déploiement et d'inscrire son coût de réalisation au budget” explique Gilles Poplin, Directeur de l’école.

 

Un outil vecteur d’autonomie des étudiants

Grâce à un système multi-caméras et à une interface de retransmission dédiée, l’étudiant est acteur de la captation en choisissant parmi les flux vidéos (vue 360 de la salle, écran de l’enseignant, plan rapproché du sujet…) qui lui sont proposés et un chat lui permettant de poser des questions à distance. C’est lui qui, au travers des directives de l’enseignant et des attendus du cours, navigue en temps réel parmi ces flux.

 

Innovation et réflexions pédagogiques

“Penninghen TV a été conçue comme une solution à long terme, une évolution. Tout a été conçu pour que la technologie ne soit pas vécue comme une contrainte par l’enseignant mais qu'elle soit au contraire garante du bon déroulement de son cours.” confie Abdelwaheb Didi, responsable du projet. Il s’agit, grâce au système de captation, de réduire le nombre d’étudiants dans les locaux, mais aussi d’offrir une interface pour appréhender le réel dans un monde digitalisé. 

En pratiquant le cours tantôt à distance tantôt physiquement, il s’agit pour chaque étudiant de développer une perception hybride de la réalité et une compréhension poussée de l’espace et du temps”. Deux notions fondamentales pour nos enseignements liés à l’utilisation des médias, à la structuration de l’espace et à la place qu’occupe l’image dans notre société. Une nouvelle page digitale de l’histoire de Penninghen s’écrit aujourd’hui.

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Isabelle Stanislas

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Isabelle Stanislas
ALUMNI

Architecte, architecte d'intérieur et designer, Isabelle Stanislas s’est fait connaître pour ses réalisations d’appartements et d’hôtels ainsi que pour ses collaborations remarquées dans la mode (dont Hermès, Cartier, Céline). En 2019, elle rénove la salle de réception de l’Elysée. Aujourd’hui enseignante au sein du mastère Architecture intérieure à Penninghen, elle nous livre ses impressions sur sa toute première rentrée.

Vous venez d'intégrer l'équipe enseignante de Penninghen, comment se sont passés vos premiers cours ? 

J’avais peur mais cela s’est bien passé. Le regard des élèves permet de vous immerger directement dans le partage de vies : le présent (moi ) et le futur (eux). Les profils sont extrêmement variés. Je leur ai dit que je ne me souviendrai pas forcément de leur prénom mais de leur allure et de ce qu’ils sont de manière sûre.

En quelques mots, racontez-nous comment la magie de la rencontre entre vous et Penninghen s'est opérée

Cela s’est passé lors du workshop que j’ai animé pour la collaboration Bonpoint X Penninghen. J’ai adoré discuter, partager avec les élèves mais surtout avec la Direction. Le pragmatisme, la transmission, sans oublier l'âme et le côté artistique des choses… Tout cela est ambitieux et tellement réel. On ne réussit pas dans ce métier sans cela.

Vous avez fait partie du jury des diplômes : comment avez-vous vécu cette expérience ?

C’était intense. Je me suis mise à leur place, je me suis souvenue de quand j’ai passé mon diplôme, ce que j’aurais fait ou pas. C’était beau et émouvant. Les rendus étaient puissants mais pas forcément tous forts.

Comment appréhendez-vous l'enseignement de l'architecture intérieure à Penninghen ? 

J’aimerais, même si cela est prétentieux, les aider à avoir leur déclic, qu’ils ressentent et se ressentent. Qu’ils n’aient plus peur de la note, qu’ils trouvent du bonheur et comprennent la magie de ce métier et ce que cela peut leur offrir dans le futur : s’offrir leur liberté.

Enseigner quand on est architecte : challenge ou évidence ? 

Challenge au départ. Evidence ensuite ! La transmission n’est pas simple. Nous sommes souvent dans notre bulle pour créer et travailler. Enseigner c’est aussi partager. Le partage dans le monde de la création est une évidence de communication mais pas forcément lorsque nous sommes en train de la construire. Je me sens assez mûre pour faire part de mon expérience et de mon savoir. Cela a pris du temps. Louis khan disait que nous ne devenons pas architecte avant 40 ans, alors pour transmettre… Cela me plait d’échanger mutuellement nos visions et de me heurter à la jeunesse. Je ne sais pas encore ce que je peux sortir de tout cela mais ce que je sais c’est que cela me plait déjà.

Isabelle Stanislas enseigne en 4e année du mastère Architecture Intérieure.

Découvrez ses réalisations sur isabelle-stanislas.com

Isabelle Stanislas membre du jury

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ÉMERAUDE NICOLAS #PENNINGHEN96

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Pascale par Emeraude
ALUMNI

Émeraude Nicolas, conceptrice et directrice artistique diplômée en 1996, rend hommage à sa sœur aimée, l’actrice Pascale Ogier disparue en 1984, dans “Ma sœur”, un livre souvenir, qu’elle a imaginé et conçu avec le consentement de la mère de Pascale, l’actrice Bulle Ogier, complice et soutien sans faille de ce projet artistique.

L’ouvrage, dont la couverture bicolore noir et jaune illumine un portrait de l’actrice des “Nuits de la pleine lune”, compile des centaines de souvenirs de vie retrouvés, des pages de textes littéraires, des notes de tournages collectés, des listes compilées…autant de petites touches qui viennent peindre en nuance le portrait de cette icône singulière et magnétique, au destin fulgurant, et qui aura marqué la génération “des jeunes gens modernes” des années 80. Édité par Patrick le Bescont, créateur de Filigranes Editions, spécialisé dans l’édition photographique et l’édition d’artistes, l’ouvrage peut se lire comme un roman, se feuilleter comme un journal intime...

 

Documents multiples : une galaxie de l’étoile filante

Ponctué d’interviews de l’époque, de coupures de presse, de photos personnelles, d’images de tournages, de témoignages d’amis, membres de sa famille, toute une galerie d’artistes, photographes, gens de théâtre, écrivains et cinéastes, journalistes…. tout un univers de personnages, de lieux, de mots, de sons, récoltés petits à petits qui assemblés dessinent la galaxie de l’étoile Pascale Ogier et permettent de pénétrer l’univers foisonnant, complexe et riche de cette idole éternelle, inspirante et libre. 

 

“Pascale Ogier ma sœur”, Émeraude Nicolas, 352 pages, Filigranes Editions

 

Emeraude Nicolas

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NUXE X PENNINGHEN

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Partenariat Nuxe x Penninghen
PARTENARIAT

La marque de cosmétique Nuxe a fait appel aux étudiants de Penninghen pour habiller le flacon de sa célèbre Huile Prodigieuse® d’une série capsule le temps de l’été. En interrogeant la créativité des étudiants de Penninghen, Nuxe est venu chercher sa cible.

Interrogés sur une déclinaison de marque à l’image forte et largement identifiée, les futurs directeurs artistiques, aguerris aux partenariats avec des marques de prestige se sont vus confier la déclinaison du produit iconique de la marque. Au cours d’un workshop d’une semaine, 23 étudiants d’années supérieures (3,4 et 5) encadrés par les directeurs artistiques Émeraude Nicolas et Thibault Geffroy, ont travaillé l’image du produit phare de la célèbre marque. 

Des créations désormais collector

Les créations proposées ont su convaincre et répondre aux attentes des commanditaires, valorisant et magnifiant le fameux flacon avec trois créations uniques, désormais collector. C’est précisément ce qui a motivé un des axes de communication de Nuxe, produisant une série de films tournés dans les ateliers de Penninghen et au siège de Nuxe. C’est le credo de Penninghen : allier création et production. Ce partenariat de qualité a trouvé un très large écho dans la presse durant le printemps et tout l’été 2020, y compris à l’international, référence largement identifiée et très présente, grâce à son réseau de distribution étendu et sa communication rayonnante et efficace. 

Partenariat Nuxe x Penninghen
Nuxe X Penninghen
Nuxe X Penninghen
Nuxe X Penninghen

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Anjuna Boutan #penninghen19

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Anjuna Boutan - Miranda chocolat
ALUMNI

La toute jeune diplômée Anjuna Boutan illustre "Miranda chocolat" sorti à L'école des loisirs.

Miranda chocolat, roman, L'école des loisirs

Des parents ultrachics, une gouvernante, une liste interminable d’interdictions et une autre, aussi longue, d’obligations, l’éducation de Miranda est parfaite. Et sa vie parfaitement ennuyeuse. Une seule chose la sauve, la joyeuse famille Pétrus et sa légendaire pâtisserie. Miranda n’est d’ailleurs pas la seule à l’aimer. Il y aussi Wonderfood, le géant industriel. Mais pour d’autres raisons…

Textes : Astrid Desbordes

Illustrations : Anjuna Boutan

anjunaboutan.com

Anjuna Boutan

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