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RÉUNION INFO - MASTÈRE COMMUNICATION

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AGENDA

Penninghen organise une réunion d'information en ligne dédiée à la filière communication. Rendez-vous le mercredi 20 avril de 18:30 à 19:30.

S'inscrire à la réunion d'information en ligne 

 

 

SE FORMER AUX MÉTIERS DE LA COMMUNICATION

 

Vous êtes élève en terminale et souhaitez intégrer une école de communication avec une dimension artistique après votre BAC ? 

Vous êtes titulaire d'un BAC+3 ou êtes actuellement en troisième année d'études dans les domaines du commerce, marketing, stratégie, management, business, art et création, histoire de l’art ou design ou équivalents ?

Vous souhaitez poursuivre vos études à la rentrée prochaine dans une grande école d'art ? Vous souhaitez préparer un BAC+5 en communication ?

Penninghen est peut-être l'école qu'il vous faut !

 

Découvrez-en plus sur l'école Penninghen et le cursus en communication, accessible en 5 ou 2 ans, lors de la réunion d'information en ligne, le mercredi 20 avril, de 18:30 à 19:30.

 

Au programme :

  • Présentation de Penninghen
  • Présentation de la filière communication
  • Retour d'expérience d'étudiants
  • Modalités d'admission
  • Session questions/réponses

 

S'inscrire

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Alicia André #PENNINGHEN19

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Alicia André, diplomée de Penninghen 2019
ALUMNI

C'est avec fierté que nous partageons le dernier projet d'Alicia André, diplômée de Penninghen en 2019, en direction artistique, la publication d’un très beau livre de cuisine, "Les Niçois", aux éditions Flammarion. 256 pages qui donnent l’eau à la bouche.

"A Penninghen, on est très libre dans nos projets"

C’est en 2014 qu’Alicia intègre Penninghen, un peu par hasard « Penninghen m’a donné ma chance. J’aimais beaucoup l’image, le graphisme, je voulais lier la stratégie, le concept, l’image, aller un peu plus en profondeur dans la conceptualisation du message. »

Un choix qu’Alicia ne regrette pas puisque Penninghen lui a permis tout au long de ses cinq années d’études d’acquérir une méthodologie, une rigueur et une maturité, grâce aux enseignements dispensés. L’approche pédagogique mise en place à Penninghen a pour objectif de permettre à chacun des étudiants de se professionnaliser et de faciliter son intégration sur le marché de l’emploi, comme en témoigne Alicia : « Mes années Penninghen ont été une bonne expérience, notamment grâce aux enseignants. C’est hyper important d’être confronté à des gens en activité et issus du milieu dans lequel on a envie de travailler. Grâce à ces échanges et cet accompagnement, je ne me suis pas laissée impressionner par le monde du travail une fois diplômée. Ce qui est bien aussi à Penninghen c’est qu’on est très libre dans nos projets, on peut développer des concepts, des sujets qui nous sont propres. Une fois dans le monde du travail on n’est pas perdu. En fait, prendre 5 ans de sa vie à penser des projets c’était vachement bien. »

  

"J'ai fait un peu de freelance (...) j'ai principalement travaillé dans des studios intégrés"

C’est durant sa quatrième année qu’Alicia met un pied dans le monde professionnel en effectuant un stage de 4 mois au sein de l’agence Monument Agency. Une variété de missions artistiques lui sont alors confiées : shooting, évènement, print… « un peu tout en fait », lui permettant ainsi, à un an de sa diplomation, de développer une activité de freelance en parallèle. « J’ai commencé à travailler pendant mon cursus à Penninghen, pour financer mes études, je travaillais surtout le week-end. J’ai fait un peu de freelance pour Lacoste par exemple. » Une carrière de freelance à laquelle Alicia décide de se consacrer, une fois son diplôme obtenu. « J’ai principalement travaillé dans des studios intégrés, notamment chez Accorhotel puis le studio de Moët Hennessy, Belvédère… »

ALICIA ANDRÉ #PENNINGHEN19

"Plein de talents se sont retrouvés sur ce projet"

Il y a quelques mois, Monument Agency la recontacte pour lui proposer une collaboration sur un projet de livre. Derrière ce projet, Les Niçois, restaurant basé dans le 11eme arrondissement. « On était en pleine crise du COVID, les propriétaires du restaurant voulaient rester dynamiques, ils ont eu ce projet de livre de recettes » Un projet de quatre mois, géré en équipe, sur lequel Alicia a eu la chance d’assurer différentes missions : direction artistique, design, accessoire, lumière, comme elle l’explique : « On a conceptualisé le livre avec le directeur de l’agence. Au début on faisait des rendez-vous un peu techniques puis j’ai été laissée en autonomie sur le projet. J’ai travaillé avec un rédacteur, avec Boulawayne, un photographe qui fait des pubs pour Thierry Mugler notamment, mais aussi avec Mélody Leblond, une illustratrice, qui a fait la communication du restaurant et qui est intervenue à la fin du projet avec des commentaires et dessins, elle a apporté la touche finale du livre. C’était plein de talents qui se sont retrouvés sur ce projet et c’était super de travailler avec toutes ces personnes. »

Un projet de direction artistique qui l’a amenée à travailler avec une équipe aux profils variés. « Deux shootings photos ont été réalisés pour ce livre. Un premier cet été dans le sud avec Les Niçois puis un deuxième à Paris, auquel j’ai participé, orienté food. J’ai pu m’investir dans les prises de vue, ce qui a été bénéfique pour le livre puisque j’avais les images en tête en faisant la mise en page. C’est un projet sur lequel nous avons travaillé en étroite collaboration avec l’équipe des Niçois également, notamment Luc, qui a écrit les recettes. Ensemble, on a travaillé sur la mise en page notamment. Le travail en équipe a vraiment été au cœur de ce projet. C’est la première fois que j’ai travaillé sur un projet d’édition d’une telle ampleur. C’était génial. » Un grand bravo à Alicia pour l’accomplissement de ce beau livre et ce début de carrière, annonciateur de nombreux projets tout aussi enthousiasmants.

Publication du livre
Diplôme de direction artistique Penninghen 2019
Direction Artistique du livre
Les niçois flammarion
Alicia André, diplomée de Penninghen 2019

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Penninghen dans l'émission Smart Campus

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PÉDAGOGIE

(Re)découvrez le passage télévisé de Gilles Poplin, directeur de Penninghen, et de Charles Azoulay, étudiant en 4eme année du cursus communication sur la chaine B SMART pour l'émission Smart Campus.

 

Qu’est-ce qui fait la différence à Penninghen ?

Gilles Poplin : La différence vient du fait qu’on apprend à nos étudiants à se dépasser et c’est un avantage substantiel par rapport à la création, qui est vraiment au départ  « apprendre à donner de soi-même », apprendre à bien se connaitre pour pouvoir être empathique, s’immerger dans les problématiques des autres. Il a y une vraie intelligence académique et personnelle.

 

 

Charles, vous qui êtes étudiant en première année de mastère communication, ça fait donc quatre ans que vous êtes étudiant au sein de Penninghen. Cette exigence pédagogique et personnelle vous la ressentez ?

Charles Azoulay : Oui bien sûr, c’est même l’ancrage je pense des valeurs de l’école. On vous donne des notions, des clés mais il n’y aura pas de cours pendant des heures, on va surtout essayer vous faire chercher et trouver la solution par vous-même et c’est très formateur.

 

 

Il y a une offre pléthorique d’école pour l’art graphique et le design, pourquoi avoir choisi Penninghen ?

Charles Azoulay : C’est une amie à moi qui m’en avait parlé et c’est ma mère ensuite qui m’a convaincu par rapport à la réputation de l’école. Je savais que je voulais faire de l’art mais plutôt de l’art appliqué et c’est pour ça que j’ai été à Penninghen. Je ne suis pas déçu car la méthode me va bien. On a cette notion de trouver par nous même les solutions et je trouve ça bien plus engageant et intéressant.

 

A quel métier vous destinez-vous après Penninghen ?

Charles Azoulay : Maintenant, je pense plus me diriger vers une fonction de directeur marketing avec une spécialisation artistique ou créer directement une marque de service.

 

Quand les étudiants sortent de Penninghen justement, vers quelle voie se tournent ils, vers quels métiers en particulier ?

Gilles Poplin : C’est assez vaste, ils sont suffisamment aguerris pour trouver des points d’ancrage professionnel qui sont divers et variés. La formation est extrêmement ouverte et généraliste pour leur offrir le luxe de créer une opportunité de création quels que soient les endroits où ils atterrissent.

 

Quelles sont vos certifications à Penninghen ?

Gilles Poplin : Soit direction artistique, soit architecture intérieure et puis récemment communication puisqu’on a souhaité ouvrir le champs de la création aussi à la maitrise d’ouvrage. Jusqu’à présent on était sur de la maitrise d’œuvre et on se dit que la création peut être un bien partagé entre des gens qui la commandent, des gens qui l’exécutent. On arrive aussi à former des commanditaires avec une forte dimension entrepreneuriale et créative.

 

On parlait de profils créatifs, atypiques. Le bac n’est pas forcément obligatoire pour intégrer Penninghen. C’est recommandé mais pas obligatoire. Pourquoi ?

Gilles Poplin : Oui tout à fait. Des fois on a des profils qui, au travers de nos enseignements, se révèlent complètement. Ce sont des gens qui ne sont pas forcément épanouis dans des cursus classiques, on a beaucoup de bacheliers et de gens qui sont issus de filières généralistes mais qui vraiment se révèlent au contact de nos enseignements. Il y a une année préparatoire générale de découverte avec des compétences techniques et de dessins, la création, le langage graphique et le volume. Vous y tenez, il y a un tronc commun de compétences à acquérir en un an et ensuite on forme en quatre autres années aux métiers que vous décriviez.

 

Est-ce que Penninghen est une école très professionnalisante sur le fond aussi ?

Gilles Poplin : C’est une école professionnalisante dans le sens où elle place des étudiants au centre des réalités professionnelles que sont l’engagement, la responsabilité, la proactivité… C’est bien là qu’on est en phase avec les certifications qu’on délivre à la fin du cursus et qui s’apparentent à des maitrises et qui permettent vraiment d’évoluer professionnellement de manière extrêmement rapide, exponentielle et aussi très personnelle.

 

Charles, avez-vous compris très tôt quelle serait votre voie après Penninghen ?

Charles Azoulay : Non je ne pense pas, c’est surtout au fil du temps et grâce aux professeurs qui ont justement fait l’école. On peut suivre un peu ce qu’ils ont fait, leurs parcours. On étudie tellement de choses et il y a tellement de terrains, ça ouvre les possibilité.

 

Quel est le taux d’employabilité après Penninghen ?

Gilles Poplin : Au-delà des 95% six mois après la sortie de l’école. C’est très satisfaisant pour nous et surtout vraiment certains diplômés vont au-devant de leurs ambitions et ça c’est une vraie satisfaction.

 

La direction artistique, l’architecture intérieure, la communication. Il y a aussi deux ateliers que je souhaiterais mettre en avant : atelier découverte qui est un stage destiné aux lycéens, aux étudiants, qui voudraient s’immerger dans l’ambiance Penninghen, peut-être avant de l’intégrer ?

Gilles Poplin : Exactement. Souvent on peut se demander qu’est-ce qui se cache derrière ces formations, cette pédagogie qui peut sembler extrêmement libre, mais qui demande en fait énormément de rigueur et de vigilance personnelle. On propose un atelier pour rentrer dans une semaine de cours à Pennignhen, à quoi ça ressemble, ce qu’on peut voir sur 25h de cours. Et les ateliers créations qui sont plus liés là sur l’idéation et la réalisation d’une image donc là pour savoir si on a un sens créatif un peu prononcé.

 

Charles, recommanderiez-vous les ateliers Penninghen pour savoir si on est fait pour ces métiers ?

Charles Azoulay : Oui totalement parce que plein de gens peuvent dire ce qu’ils aiment, ce qui les intéressent mais ils n’ont peut-être pas le matériel adéquat. Les professionnels pourront leur montrer la technique et je pense que c’est assez intéressant justement de vraiment plonger dans tout cet univers artistique. Et puis surtout dès 14 ans, il y a une pépinière, un atelier à l’année pour la découverte du dessin.

 

Là encore on s’adresse peut-être à ceux qui sont vos futurs étudiants mais cet engagement précoce à partir de 14 ans c’est aussi une philosophie à Penninghen ?

Gilles Poplin : C’est une philosophie oui, je pense que les mécanismes que l’on développe entre 15 et 25 ans. Ce sont des disciplines qui se travaillent de manières régulière, hebdomadaires voire quotidienne, c’est en les pratiquant qu’on prend de l’intérêt, qu’on découvre des ressources en soit et d’apprendre à regarder par le dessin, parce qu’il ne s’agit pas uniquement de développer des talents d’expression, tout ça s’apprend, comme on dit « voir pour concevoir » c’est quelque chose qui est important et plus on va l’entrainer assez tôt et plus c’est quelque chose sur lequel on développera une intelligence émotionnelle importante.

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Retour en images sur notre atelier découverte d'octobre

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ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE
AGENDA

Deux fois par an, en octobre et en février, sur le temps des vacances scolaires, Penninghen ouvre ses portes à quelques dizaines de lycéens, la grande majorité en année de terminale, curieux de découvrir la vie d’une école d’art et désireux de valider leur projet d’orientation. Stage d’une semaine, l’atelier découverte propose une expérience créative en totale immersion à Penninghen.

L’atelier découverte, qu’est-ce que c’est ?

Parce que le choix d’orientation n’est pas si facile et qu’il n’est pas toujours évident encore au lycée de savoir la direction que l’on souhaite donner à ses études post bac, Penninghen propose un “atelier découverte”. Ce stage, destiné aux lycéens, se déroule sur une durée de 5 journées consécutives, proposé deux fois par an, en octobre et en février sur le temps des vacances scolaires. Conçu et pensé pour offrir aux stagiaires une immersion totale au sein de ses ateliers, dans les mêmes conditions que les étudiants actuels, l’atelier découverte est la meilleure opportunité pour découvrir, de l’intérieur, ce qu’est réellement Penninghen et confirmer le choix de sa future école, en cohérence avec son projet d’orientation.

À travers son année préparatoire, année commune fondamentale aux formations proposées, ce stage immersif et créatif permet de découvrir l’école par sa pédagogie, sa méthode, ses disciplines et ses enseignants. En effet, tout au long de leur semaine de stage, les lycéens deviennent “étudiants” à Penninghen. La semaine s'articule autour de sept disciplines qui permettent à tous les stagiaires de découvrir le panel complet des cours dispensés en année préparatoire à Penninghen par la même équipe enseignante. Cette expérience unique est ainsi particulièrement enrichissante et éclairante, notamment pour tout futur étudiant désireux d’intégrer Penninghen.

L’atelier découverte est un moment de multiples rencontres et d’expériences sensibles. C’est d'abord une émotion esthétique au sein des ateliers historiques de Penninghen avec ses fameuses verrières, ses placards remplis de plâtres et ses mythiques tabourets; c’est également se retrouver au cœur du célèbre quartier parisien de Saint-Germain-des-Prés avec ses galeries, ses universités, ses musées et ses librairies, ….autant d’éléments stimulants et inspirants qui invitent le stagiaire encore lycéen à se projeter en étudiant de Penninghen. Faire l’expérience de ce stage, c’est découvrir un lieu, un esprit, une histoire et l’occasion unique d’imaginer s’y inscrire.

ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE

L’atelier découverte d’octobre 2021

Lors de la session d’automne, trente-six lycéens en classe de première et de terminale, ont participé à notre premier atelier découverte de l’année, du 25 au 29 octobre 2021. Accueillis par Gilles Poplin, le directeur de Penninghen, les stagiaires-étudiants de la semaine ont immédiatement été invités à plonger dans le grand bain de la création, encadrés par une équipe d’enseignants bienveillants et motivants. Une semaine intense de découverte des fondamentaux des arts appliqués à travers les sept disciplines enseignées en année préparatoire. Cette semaine de cinq journées, au vu de notre sondage post-stage, s’est révélée pour 97% des participants, très concluante comme en témoignent ces propos recueillis auprès des stagiaires : « Grâce à ce stage, j’ai maintenant une bonne compréhension du fonctionnement de l’école. » Melvil « Ce stage a répondu à toutes mes attentes. J’ai beaucoup aimé la semaine puisqu’elle m’a permis de découvrir d’autres façons de toucher à l’art. » Elliot « On a vraiment découvert ce que l’on allait faire l’année prochaine, l’ambiance de l’école. » Missilia « Nous avons vu tous les cours de la première année, nous avons acquis de nouvelles techniques et de nouveaux savoirs. » Paloma « Les cours étaient très complets et variés. On a pu découvrir parfaitement ce que les élèves font en première année. » Anne-Claire

ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE

Ce que les stagiaires ont le plus apprécié durant leur semaine d’immersion à Penninghen?

« Revoir toutes les bases du dessin » ; « La découverte des techniques » ; « La réalisation de maquettes » ; « Le cours de gouache » ; « Les cours d’illustration » ; « La variété des cours » ;« La bienveillance des professeurs »…

Les bénéfices de l’atelier découverte de Penninghen

  • Découvrir l’école de façon concrète

  • Vivre une semaine au rythme d’un étudiant en année préparatoire

  • Se projeter dans ses études post bac

  • Valider son projet d’orientation

  • S’approprier les fondamentaux des arts appliqués

  • Se familiariser avec un cursus diplômant en architecture intérieure, communication ou direction artistique

  • Obtenir un kit de fournitures pouvant être réutilisé lors de la première année d’études

  • Bénéficier d’une réduction des frais d’inscription à Penninghen

 

S’inscrire à nos prochains ateliers

Vous êtes désormais convaincus de l’intérêt de notre atelier découverte et vous souhaitez vous aussi faire l’expérience d’une semaine en immersion à Penninghen ? N’attendez plus et inscrivez-vous dès maintenant pour notre prochain atelier d’hiver qui aura lieu du lundi 21 au vendredi 25 février 2022 ! Attention, le nombre de places est limité !

S'inscrire à l'atelier découverte de février

 

 

S’inscrire à d’autres ateliers de Penninghen

Vous avez apprécié votre expérience à l’atelier découverte et vous souhaitez pousser plus loin la pratique artistique en participant à un atelier à visée créative durant semaine à Penninghen ? N’attendez plus et inscrivez-vous dès maintenant à l’une des sessions d’atelier création ! Attention, le nombre de places est limité !

S'inscrire aux ateliers création

 

ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE
PORTRAIT ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE
ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE
PORTRAIT ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE
PORTRAIT ATELIER DECOUVERTE
PORTRAIT ATELIER DECOUVERTE
PORTRAIT ATELIER DECOUVERTE OCTOBRE

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Le studio SYNDICAT en conférence à Penninghen

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STUDIO SYNDICAT MASTERCLASS
MASTERCLASS

STUDIO SYNDICAT- FAIRE EMPIRE Penninghen a invité le studio Syndicat dont les représentants revendiquent un graphisme expert et décalé. Le 10 novembre 2021, Sacha Léopold et François Havegeer fondateurs du Studio Syndicat sont venus donner une masterclass à Penninghen pour échanger avec les étudiants autour de leur pratique interdisciplinaire unique et singulière.

Fondé par le duo de graphistes en 2012, le studio Syndicat intègre des commandes de design graphique nourries par la connaissance affutée des techniques d'impression et de fabrication. Unique dans son approche experte et décalée, le duo vient partager avec les étudiants de Penninghen sa vision de la pratique en y portant son regard critique et réflexif.

Une maison d’édition comme prolongement des relations aux artistes

Syndicat collabore avec des artistes contemporains et des centres d'art pour créer des identités visuelles, diverses publications, des monographies et des livres d'artistes. Depuis 2015, ils dirigent également Empire, leur propre maison d’édition, qu’ils envisagent comme un prolongement des activités liées aux sujets de l'image, du graphisme et des relations aux artistes entreprises par leur studio.

 

Au centre, les questions de reproduction, de documentation et de circulation des images

Leur ligne éditoriale met au centre les questions de reproduction, de documentation et de circulation des images à travers des catalogues, monographies, ouvrages théoriques, revues, posters ou rééditions. Depuis octobre 2017, ils éditent également Faire, une revue bimensuelle critique et analytique des formes et activités liées au graphisme. Parallèlement à leurs activités de design, Syndicat a organisé plusieurs expositions marquantes explorant les savoir-faire des techniques d'impression et de production, comme “ce n’est pas la taille qui compte” au centre d'art de la Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques de Nogent-sur-Marne. Leur travail est régulièrement présenté dans des expositions et publications ainsi que dans des conférences, en France et à l’étranger. 

Cette conférence s'inscrit dans le cycle réservé à tous les étudiants de 5e année de Formation Architecture Intérieure, de formation communication et de formation direction Artistique dans le cadre du cours de Brand curation conçu et conduit par Gilles Poplin, directeur de Penninghen.

 

STUDIO SYNDICAT MASTERCLASS

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Les troisième année en voyage d'études à Venise et Rotterdam !

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VOYAGE D'ÉTUDES À VENISE ET ROTTERDAM
INTERNATIONAL

LE VOYAGE D’ÉTUDE : SE DÉPLACER POUR COMPRENDRE Dans le cadre du programme de 3e année, tous les étudiants des cursus d’architecture intérieure et de direction artistique partent étudier une semaine hors de Paris, en France ou à l’étranger, encadrés par des enseignants.

Stimuler la créativité et adopter un point de vue

Programmé à l’automne, le voyage d’étude est par ailleurs l’occasion d’une expérience de cohésion et de partage entre étudiants. L’objectif du voyage d’études est de sortir de l’école, de stimuler la créativité en convoquant l’interdisciplinarité et ainsi, d'apprendre à adopter un point de vue. Cette année, les étudiants d’architecture intérieure et ceux de direction artistique sont respectivement partis à Venise et à Rotterdam.

Une scène flottante à l’Arsenal

Du 24 au 30 octobre 2021, les 41 étudiants d’architecture intérieure de troisième année sont partis travailler une semaine à Venise, installés dans le Centro Culturale Don Orione Artigianelli, vaste complexe architectural, fondé en 1423, inspirant, avec ses quatre cloîtres et nombreux bâtiments de différents types et périodes de construction du XVe au XVIIIe siècles. Encadrés par leurs enseignants d’architecture, d'architecture et construction, de dessin d'espace, adjoints d’intervenants, les étudiants ont dû développer un projet de scène flottante destinée au bassin de l’Arsenal. En parallèle, recueillis au fil des déambulations, visites et conférences, dans des carnets remplis selon les techniques de leurs choix, dessins, croquis, notes et esquisses sont venus sublimer et enrichir leur travail de conception. L’analyse et la compréhension de figures emblématiques de l’architecture vénitienne par l’observation et la prise de note architecturale est considérée comme étant une donnée essentielle au travail de conception. Une temporalité modifiée, l’éloignement, la transdisciplinarité, autant de vecteurs qui stimulent la créativité.

VOYAGE D'ÉTUDES À VENISE ET ROTTERDAM

Le caractère d’une ville, Rotterdam

C’est à Rotterdam que les 79 étudiants de troisième année de direction artistique sont partis sur la même période, hébergés dans les fameuses “kubuswoningen”, emblématiques maisons cubiques jaunes dessinées par Piet Blom dans les années 70. Au cours de la semaine, séquencée en visites, workshops et travaux individuels, les étudiants encadrés par leurs enseignants de direction artistique, croquis, dessin et de photographie ont produit un travail graphique autour du thème directeur donné, “caractère d’une ville”. Articulé autour de trois projets distincts, chacun a dû constituer son propre carnet de dessins, selon les techniques libres et choisies. En parallèle, les étudiants ont réalisé un reportage photographique personnel. Toute la semaine, il leur a été demandé de faire une “récolte graphique” personnelle, afin d’alimenter leur propre projet sur l’identité de la ville. L’architecture, l’humain, les signes, autant d’éléments visuels à observer et repérer pour décoder une culture, une ville.

VOYAGE D'ÉTUDES À VENISE ET ROTTERDAM

L’an prochain, l’expérience, qui au-delà de ses apports pédagogiques génère chaque année une production artistique et créative ambitieuse et de grande qualité, sera bien entendue renouvelée.

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Journée d'informations - Samedi 4 décembre

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portes ouvertes Penninghen décembre 2021
Agenda

Penninghen, l’école de direction artistique, de communication et d'architecture intérieure, fondée en 1968, vous ouvre ses portes, le samedi 4 décembre, de 10H à 19H. Préparez et anticipez la rentrée 2022 et votre poursuite d’études post bac dès à présent en venant découvrir l’école d’arts appliqués qui vous correspond.

Venez visiter nos ateliers, situés en plein cœur de Paris, dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés. 

Tout au long de cette journée, vous pourrez découvrir Penninghen de l’intérieur, ses ateliers, son atmosphère mais aussi l’année préparatoire intégrée et les 3 cursus de spécialisation :

 

S’inscrire à la journée d’information

 

Une exposition de travaux d’étudiants de première année vous permettra également de vous plonger concrètement dans les applications créatives des différentes disciplines enseignées en année préparatoire. Des étudiants et des enseignants ainsi que des membres de l’administration se tiendront à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous guider dans les divers espaces de l’école.

 

Au programme de la journée d’information du samedi 3 décembre :

  • Visite des ateliers Penninghen 
  • Échange avec le directeur de l’école, Gilles Poplin
  • Échange avec l’équipe pédagogique et enseignante de Penninghen
  • Rencontre avec les étudiants de l’école
  • Découverte des travaux d’étudiants en année préparatoire

 

Influencer la création, tel est le leitmotiv de Penninghen.

Penninghen place la création et ceux qui l’incarnent au centre des développements de notre société. Transmettre la notion fondamentale de l’engagement créatif, « être et faire » est le sens de notre formation. Révéler la personnalité de chaque étudiant par le dialogue et la pratique oriente la pédagogie et la conduite des enseignements.

Le crédo de Penninghen est de mettre la sensibilité des étudiants à l’œuvre pour les aider à la cultiver personnellement.

Développer les compétences, l’intuition, la confiance en soi, dans une démarche de partage et de responsabilité est le moteur de notre école.

 

Penninghen en chiffre :

  • 1 cursus en 5 ans
  • 1 année préparatoire intégrée
  • 3 cursus de spécialisation possible
  • 25H de cours/semaine et 25H de travaux personnels hebdomadaire en 1ere année
  • 53 ans d’histoire et d’expertise pédagogique
  • 96% d’insertion professionnelle dans les 6 mois suivant l’obtention du diplôme
  • 120 enseignants en activité et pour la plupart, diplômés de Penninghen
  • 257 écoles partenaires dans le réseau cumulus, réparties dans 57 pays
  • 300 places en première année
  • 820 étudiants tous cursus confondus
  • 3000 diplômés en activité à travers le monde

 

S’inscrire à la journée d’information

 

Contacts et informations :

Penninghen 

31 rue du Dragon 75006

Métro Saint Sulpice ou Saint Germain des Prés (Ligne 4) ou Sèvres Babylone (Ligne 12)

 

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Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !

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Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !
PUBLICATION

Marguerite Chaillou, diplômée de Penninghen en 2019 en direction artistique, publie son premier ouvrage à la maison d'édition Les Arènes : "Paris Typographie". L’aboutissement d’un projet qui n’est pas anodin puisqu’il s’agit de la publication du projet de diplôme et de fin d’études de Marguerite.

Avec nous, Marguerite a accepté de revenir sur ce projet mais aussi sur son parcours à Penninghen, sur ce que lui ont apporté ses études en direction artistique et sur ses projets futurs. Zoom sur un parcours d’alumni de Penninghen !

Que retiens-tu de ton parcours à Penninghen ?

Les enseignants ! Dès les Portes Ouvertes j’ai réalisé que la force de l’enseignement de Penninghen résidait surtout dans son équipe pédagogique : la très grande majorité sont des diplômés de Penninghen et surtout, tous sont de grands professionnels, en activité en parallèle des cours qu’ils dispensent à Penninghen. Durant ces mêmes Portes Ouvertes, dans la dernière salle de l’exposition, défilaient leurs travaux ; c’est ce qui m’a convaincue de rejoindre la rue du Dragon. Par la suite j’ai en effet rencontré des mentors dont les conseils et les regards affutés m’ont particulièrement fait grandir, années après années.

A quoi rêvais-tu quand tu étais encore à l’école ?

Je ne viens pas d’un milieu créatif, j’avais donc tout à découvrir. Penninghen m’a donné le temps nécessaire pour me désiller, pour multiplier les rencontres et pour découvrir tous les métiers de la création. Les stages et premières expériences professionnelles m’ont permis , petit à petit, d’affiner mes choix.

Que t’a apporté ton mastère en direction artistique à Penninghen ?

J’ai vécu ce mastère comme l’opportunité de tester mes premiers acquis en les appliquant concrètement et l’occasion de compléter mon portfolio. En cours de Direction Artistique les sujets sont très ouverts et permettent d’expérimenter sans le risque auquel expose un projet professionnel. Le clou de mastère et de mes cinq années d’études à Penninghen a été mon diplôme, trois mois entièrement dédiés à un sujet. Cela a été finalement le projet qui m’a lancé dans l’édition.

Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !

Peux-tu nous présenter ton projet de diplôme ?

Paris Typographie est un voyage typographique dans la capitale, comme un regard nouveau sur cette ville que nous connaissons tous. En terme de contraintes il y en avait peu, c’est pourquoi j’ai choisi ce sujet : les rues de Paris sont accessibles et je les connais comme ma poche. Grâce à mon maître de thèse, Michel Maidenberg, j’ai réussi à mettre de l’ordre dans mes trop nombreux clichés et vécu une véritable master-class de mise en page. Merci Michel ! L’idée était aussi de révéler une typographie moins académique, moins « suisse ». Pour cela je me suis orientée vers des lettrages vernaculaires, car j’avais le souci de valoriser les regards extrêmement inspirants de non-initiés. Choisir Paris, c’est aussi s’ouvrir à un public très large et, espérons le, pousser l’ouvrage hors de France.

Comment en es-tu venue à faire publier ton projet de diplôme à la maison d'édition Les Arènes ?

Ce projet à bénéficié de beaucoup de bienveillance lors de sa première sortie, en 2019, pour mon diplôme. Il m’a permis de rencontrer du monde et est naturellement passé de mains en mains. Mais, depuis le début, c’est Éric Pillault (directeur artistique, enseignant à Penninghen) qui avait particulièrement l’œil sur ce gros livre rouge. Ainsi, lorsqu’en 2020, Éric est arrivé aux Arènes, il m’a proposé de venir présenter le projet. Laurent Beccaria, directeur des Arènes a eu un « coup de cœur » et le 7 octobre 2021, il publiait Paris Typographie.

Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !

Peux-tu nous expliquer comment se déroule un projet de publication comme le tien ?

C’est un projet un peu particulier. Rarement un auteur a, comme je l’ai eu, la main sur les photos, la mise en page, la rédaction des textes et le calage. Les Arènes m’ont fait confiance et j’ai bénéficié d’une grande liberté. Tout du long j’ai aussi eu la chance d’être accompagnée par mon éditeur, Jean-Baptiste Bourrat, et Eric Pillault, Directeur artistique de la maison. Tous deux m’ont aidé à polir mon projet . En septembre a eu lieu la journée des représentants (chargés de vendre l’ouvrage sur le réseau) puis le service de presse (contacter les radios, TV, sites importants) et enfin, en octobre, le lancement de l’ouvrage que j’ai pu dédicacer dans les bureaux des Arènes. Par ailleurs la maison communique sur ses réseaux à propos du projet et, moi, je me déplace dans les salons et les librairies pour promouvoir l’ouvrage. La date de sortie en octobre n’est pas anodine, ce type de livre se vend généralement pour les fêtes. Le mois de novembre est crucial.

Quels sont tes futurs projets ?

En ce moment je suis à HEC en M2 pour acquérir des notions essentielles de management et business. Le fait d’avoir travaillé dans l’univers des arts appliqués m’a fait réaliser la nécessité de comprendre la valeur de mon travail et les structures dans lesquelles je pouvais le partager. Je pense sincèrement que les rôles d’exécutif créatifs ont de plus en plus besoin de doubles profils, qui conjuguent talents créatifs et compétences business . A côté je continue à travailler dans le monde du print, je réalise des identités visuelles et poursuis ma curation de magazines vintages sur Instagram avec mon compte @mad.mag.type. Bref, je prépare activement ma sortie d’école et j’ai hâte de vous en dire plus au printemps prochain.

Un dernier mot pour nos étudiants ?

Oui, peut-être : trouvez-vous des modèles et observez leurs parcours.

Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !

Marguerite Chaillou, présentant son projet de diplôme à Oliviero Toscani, photographe et directeur artistique, président du jury de Penninghen 2019.

Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !
Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !
Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !
Un projet de diplôme publié à la maison d'édition Les Arènes !
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Marie Kalt

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marie kalt presidente du jury
PROMOTION 2021

Je suis très heureuse d’être là, d’avoir présidé ce jury, d’en avoir choisi un certain nombre des membres, d’en avoir fait partie, d’avoir vu vos projets ; parce que depuis à peu près vingt ans, ma vie n’est qu’une suite de collaborations avec des anciens de Penninghen. Donc c’était vraiment pour moi un couronnement ce soir.

Je dirige un magazine de décoration donc bien évidemment, je suis en contact avec de nombreux architectes d’intérieur dont on a montré les projets dans nos pages, ou qu’on a présenté dans des événements comme le AD Intérieurs que certains d’entre vous ont déjà vu. Évidemment parmi ceux-là, il y avait des stars montantes d’aujourd’hui, comme Tristan Auer, Dorothée Boissier ou encore Hugo Toro, des gens qu’on suit depuis longtemps et qu’on apprécie beaucoup.

“Vous avez reçu une éducation particulière. Vous avez appris à exprimer votre propre personnalité, c’est capital dans des métiers de création.”

Diriger un magazine c’est d’abord travailler avec tous ceux qui font la partie visuelle. Il y a évidemment un contenu mais il y a une expression de ce contenu, et c’est le travail avec les graphistes et les directeurs artistiques qui pour moi est essentiel. Bizarrement, dans mon parcours, j’ai travaillé presque exclusivement avec des gens qui ont fait votre école. D’abord, c’était un hasard. Le premier était Éric Pillault, qui enseigne d’ailleurs aujourd’hui à l’école. J’ai compris avec lui et avec d’autres qui ont suivi, que vous aviez appris et reçu une éducation particulière qui était très proche de ce que moi je cherchais en tant que rédactrice en chef : une exigence, une inventivité, une capacité de se remettre en cause. Cette capacité de dépasser des formats qu’on a déjà imaginés pour en inventer de nouveaux; un travail entre le texte et l’image qui est fondamental. C’est le fondement de votre travail en direction artistique.

Marie Kalt présidente du jury

Alors, j’ai eu à cœur de continuer à chercher d’autres “bébés Penninghen”, et au fil des années, on a fait la sortie des cours et on a pris beaucoup de gens qui étaient tout juste diplômés, comme vous, qui sortaient quelques jours après leur diplôme. On les a rencontré, ils ont intégré la rédaction, ont fait un certain parcours avec nous. Beaucoup d’entre eux volent désormais de leurs propres ailes ou continuent de collaborer avec le magazine en free-lance. Pourquoi cette obsession pour les “bébés Penninghen” ? Je le redis, c’est parce que vous avez reçu une éducation particulière. Je l’ai vu dans vos projets proposés pour les jurys de diplômes. Vous avez acquis la rigueur, l’exigence, vous avez acquis des savoir-faire pointus. J’ai vu les vidéos, j’ai vu le travail de 3D, j’ai vu tout ce qui a d’ailleurs beaucoup évolué au cours des dix dernières années.

Marie Kalt présidente du jury 2021

Mais surtout ce qui était le plus important pour moi, c’est que vous avez appris à exprimer votre propre personnalité. Et je pense que c’est capital dans des métiers de création. Qu’est-ce que j’ai à dire ? Qu'est-ce qui va faire les différences entre moi et un autre ? Comment à travers mon histoire, les influences que j’ai reçues, mes goûts, je vais traduire tout ça, à travers mon travail ? Je pense que vous avez tous beaucoup travaillé dans cette direction là pour aborder ce diplôme, pour moi c’était très visible, et c’est peut-être aussi une marque de l’école. J’ai été jury dans de nombreuses autres écoles et ça n’était pas aussi évident. Donc vous avez commencé à construire votre univers, graphique, imaginaire, et maintenant que vous avez un diplôme, eh bien ça n'est pas fini ! 

“On a le devoir de continuer à apprendre, à être curieux, à comprendre ce qui se passe autour de soi, à s’approprier tout ce matériel extraordinaire de façon à le transformer, pour en faire son propre travail d’expression.”

En fait, c’est maintenant que ça commence et c’est maintenant qu’il va falloir que vous travailliez sur cette richesse, parce que c’est elle qui va vous accompagner tout au long de votre carrière. Sylvia (Tournerie) vous a dit “je vous interdis de vous ennuyer !” et elle a raison. C’est une chance incroyable de faire les métiers que vous faites ou celui que je fais d’ailleurs, qui est assez proche. On n’a pas le droit de s’ennuyer, et on a le devoir de continuer à apprendre, à être curieux, à comprendre ce qui se passe autour de soi, à s’approprier tout ce matériel extraordinaire de façon à le transformer, pour en faire son propre travail d’expression. Alors évidemment, demain vous allez commencer à travailler, moi je vous dis : ne vous laissez pas emprisonner dans les exigences professionnelles. Gardez des plages de liberté. Gardez des espaces de créativité. Gardez des jardins secrets. Parce que c’est là que vous allez développer votre propre richesse. Ne vous laissez pas non plus emprisonner dans les modes. Il y a des tendances, il y a des modes. Tout d’un coup c’est les années 80, ça revient, et tout le monde fait du Memphis…! Vous avez beaucoup mieux à dire que ça. Evidemment Memphis c’est formidable. Évidemment il faut connaître tout ça, s’en imprégner. Mais il faut le transformer à travers ce que vous êtes vous-même. Mon message c’est soyez libres, soyez vous-mêmes, quoi que vous fassiez et trouvez votre propre voie !   

 

Discours de Marie Kalt, présidente du jury 2021, Institut du Monde Arabe, 23 juin 2021

marie kalt presidente du jury
Marie Kalt présidente du jury
Marie Kalt présidente du jury
Marie Kalt présidente du jury

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Majors de promotion 2021

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promotion penninghen
PROMOTION 2021

Andréa Chanoine en architecture intérieure et Naomi Prost-Kasbi en direction artistique ont été distinguées par le jury de la promotion Marie Kalt.

Andréa Chanoine

Les vestiges du futur  

Un témoin de l'érosion 

Est-ce la plage qui recule ou le blockhaus qui avance ? 

À mesure que la dune s’efface, ces balises de béton autrefois perchées au sommet de celle-ci, plongent désormais dans l’océan emportant avec elles le témoignage d’une organisation militaire dont l’immensité du projet dépasse le sens commun. Aujourd'hui ces édifices ne sont ni perçus ni reconnus. Peut-on faire évoluer ce témoin historique en marqueur géographique ? Les vestiges du futur propose d’aborder le réchauffement climatique autrement, en sensibilisant ses visiteurs au travers d’un pavillon, témoin du temps et des ravages de l’érosion.

Ce diplôme a été suivi par Dominique Wurtz

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Andréa Chanoine

Naomi Prost-Kasbi

Hors Jeu ! 

Cahier de jeux graphiques

Les paralèlles entre art et jeu sont aisés. Les deux se distinguent des activités dites utiles, sont des expressions de liberté créatrice, pour lesquelles nous consentons à l’illusion.
Hors Jeu ! c’est un objet éditorial qui conjugue l’univers ludique et interactif des cahiers de jeux, et une réflexion graphique propre aux éditions que l’on retrouve en librairies artistiques.
C’est un support de conception et de contemplation. Divertissant et régressif, objet créatif actif.

Ce diplôme a été suivi par Marie Philippe

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Naomi Prost

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